L’entreprise Oxatis vient de dévoiler ses observations sur sa nouvelle enquête qui concerne les profils des e-commercants en 2019. Depuis quelques années, le marché en ligne se développe, il atteint aujourd’hui place que l’on ne peut pas ignorer, surtout pour les PME Françaises !
Les habitudes du consommateur ont changé, on se rend compte que les achats en ligne sont de plus en plus nombreux. 80% des commerçants interrogés, qui ont les canaux de distributions physiques et digitaux, constatent un impact positifs sur leurs ventes digitales. Le digital est désormais reconnu comme étant un outil de conversion pour la majorité des entreprises françaises : 83% des e-commerçants sont rentables ou l’équilibre en 2018.
Des outils digitaux maîtrisés
Les plus gros outils présents sur Google font partis du quotidiens des e-boutiques. 55% des commerçants qui utilisent Google Ads ont des résultats positifs. Et 61% utilisent Google Shopping pour mettre en avant leurs produits.
Il ne faut pas oublier l’impact que les réseaux sociaux ont également sur la dynamique d’achat. Qui n’a jamais succombé à la tentation après avoir vu un superbe post d’une montre sur Instagram ?
Cependant, c’est Facebook qui reste la plateforme la plus utilisée par les commerçants, 79%. Grâce à ses diverses avancées sur le terrain du e-commerce, Facebook a mis en avant des outils pour faciliter la vente des produits.
Instagram fait parti intégrante du quotidien de la tranche des 15-35ans, mais cette tendance tend à augmenter au fil des années, seulement 37% d’utilisateurs.
Le e-commerce, un secteur qui se développe
Nous n’avons jamais vu autant d’annonces d’entreprises qui recherchent des personnes pour s’occuper de leur e-commerce. Et pour cause, c’est aujourd’hui un travail à part entière. Il y a tout un planning, toute une mécanique à mettre en place pour que cette branche de la société puisse se développer convenablement. En 2019, 23% des e-commerçants se déclarent prêt à embaucher un nouveau salarié.
Quant aux candidats, il faudra miser sur un profil d’experts en commerce et en marketing (43%), plutôt que d’experts en logistiques, ou préparateur et gestion des stocks (26%)